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 ASSASSINATS DE Norbert ZONGO ET SES COMPAGNONS LE 13 DÉCEMBRE 1998

 

Son fils ainé, Guy Bonaventure ZONGO parle à François COMPAORÉ

« Sans passion, sans haine, et sans rancoeur aucune, je te souhaite d’aller au delà de la question juridique. Même si demain la justice refuse de d’extrader. Prend un avion et vient nous dire ce qui s’est passé et qui a fait quoi. Affronte pour une fois avec courage cette forfaiture indélébile qui te hante et qui nous hante aussi (souvenir effroyable des restes consumés d’un père pourtant tolérant, franc et humble. Soit sûr que si tu es condamnés, je serai l’un des premiers à te rendre visite pour la simple raison que nous sommes tous humains et mortels. Dieu est seul juge, pas l’homme….. »

 

Assad R. OUÉDRAOGO

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