Le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORE, décline sa vision souverainiste et tend ses bras aux Afrodescendants
La Révolution Populaire et Progressiste, expliquée aux afro descendants avec magnanimité par le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORE, chef de l’État. En effet, la révolution Populaire et Progressiste Burkinabè, malgré son contexte assez difficile avec des défis nombreux à relever, suscité de la curiosité, la sympathie , de l’altruisme , d’engagement et soutien des peuples épris de justice , d’égalité, de souveraineté de partout dans le monde. C’est sans doute nulle doute cette trajectoire que les afro descendants ont décidé d’emprunter afin de témoigner de leur soutien et engagement aux côtés d’un digne héritier de Thomas Sankara, qui malgré les péripéties internes et externes tient bien la baraque Burkina-Faso. C’est l’engagement, la résilience et le Burkindilim de tous les Burkinabè qui est reconnu et soutenu de par le monde, en témoigne la marrée humaine d’afro en pèlerinage révolutionnaire au Faso.
Dans la dynamique, de faire du Burkina, la dernière demeure de l’impérialisme une réalité, le Conseil des ministres du 14 mai 2025 a remis en selle, l’Institut des peuples noirs, désormais sous l’appellation; « IPN- FARAFINA » et nommé à sa tête fin stratège et connnaiseur du monde et de ses ramifications, nous avons nommé l’excellentissime ancien premier ministre, Apollinaire Joachimson kyelem De Tambela.
Cet institut, pensé sous la révolution sankariste, fut créé en 1990, mais est tombé par la suite en désuétude, dans une volonté d’effacement des acquis du Capitaine révolutionnaire d’Aout 1983.
C’est dans le cadre de la promotion d’une Afrique et de sa diaspora du joug impérialiste, que le Burkina Faso a accueilli sur son sol une délégation de 700 afrodescendants, venus des Etats unis, de l’Europe et des Caraïbes, autour du concept «Back to your roots », (retour aux sources).
Durant deux semaines, du 26 octobre au 8 novembre 2025, ils se sont reconnectés avec leurs racines et découvert le Burkina à travers entre autres des conférences sur l’Afrique précoloniale et le panafricanisme, des visites chez le Mogho Naaba et au Mémorial Thomas Sankara, une soirée de dégustation de mets locaux et un Salon de Business consacré aux opportunités d’affaires qu’offre le Burkina Faso ; étant donné qu’au sein de cette délégation d’Afro descendants, figurent des investisseurs.
Le clou de leur séjour a été marqué par leur rencontre avec le Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré. Le chef de l’Etat, un véritable chef de guerre qui assure et rassure, a justement salué leur volonté et leur détermination à investir au Burkina Faso.
A ce propos, le Président de la Révolution Progressiste et Populaire (RPP) leur a signifié sa décision de les exempter des conditions financières au sujet de l’acquisition de la Carte de résident permanent.
Cette décision traduit la volonté du Chef de l’Etat de faciliter le retour des frères de la diaspora, qui souhaitent investir et rester de façon permanente au Burkina. Et cela dans la mesure ou les domaines d’investissement sont encore vaste au pays des Hommes intègres : immobilier, agriculture, énergie , transformation des matières premières et agro-alimentaire etc.
Dans cette dynamique, des fiches de tarification et de notification des produits de la Société Nationale d’Aménagement des Terrains Urbains (SONATUR) ont été transmis aux hôtes du Chef de l’Etat par l’entremise de leur correspondant au Burkina Faso, notre confrère Issa NAPON.
Au cours de leur séjour, Le Président du Faso, a surtout salué l’idée des Afrodescendants d’implanter au pays des Hommes intègres une Station de Radiodiffusion et Télévision, en vue de défendre la cause de l’Afrique et de l’homme noir. Pour le chef de l’Etat, la communication est une arme et ce média permettra de raconter notre propre histoire au détriment de celle des médias occidentaux qui véhiculent de façon récurrente et avec véhémence un narratif négatif à l’endroit du continent noir.
Aux afro descendants, le capitaine TRAORE, a assuré mener une lutte âpre, celle de la dignité de l’Afrique et de l’homme noir. Mais constate-t-il, cela lui vaut l’inimitié de l’impérialisme et surtout de certains de ces pairs africains.
Voilà pourquoi, il demande le soutien des Afro descendants dans cette lutte, tout en les rassurant de les accompagner dans leur élan d’investissement.
Le Burkina ouvre ainsi ses bras aux enfants d’Afrique, coupés de leurs racines, pour revenir vivre paisiblement sur la terre ancestrale.
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